Trabalhos: Du Zénith au Nadir, de l'Orient à l'Occident, du Septentrion au Midi

in "FÉNIX - Boletim da R.·. L.·. Fénix nº 493, Or.·. de Lisboa", nº 2, Grémio Fénix, Lisboa, Junho de 1994

Ce sont les limites des dimensions du temple maçonnique, qui s'étend « du Zénith au Nadir », « de l'Orient à l'Occident » et « du Septentrion au Midi », c'est à dire qu'elles englobent tout l'univers.

Albatroz

A - Définitions et liaisons au Temple maçonnique :

  1. Orient = Est = Levant = Pays de la naissance et la renaissance du Soleil et de Vénus.
  2. Du latin oriens, participe présent de oriri, « surgir, se lever ».

    - Côté du Temple où est assis le Vénérable. Il correspond à la naissance du Soleil et à la source de la lumière naturelle. L'Orient représente le lieu de la création, de l'invention, de l'origine de tout le savoir, de toute la force et de toute la beauté. De là provient la direction et l’orientation des travaux. C’est le lieu noble du Temple, rehaussé par une estrade et par plusieurs degrés où prennent place, outre le Vénérable, l'Orateur, le Secrétaire et tous les Maçons à qui l'on veut rendre hommage ou que l'on veut mettre en valeur, ainsi que les Visiteurs qui ont une certaine importance.

    - Synonyme d'Obédience : l'Orient français, l'Orient Portugais.

    - Lieu où il existe une loge maçonnique : l'Orient de Paris, l'Orient de Lisbonne.

    Comme l'Orient est l'origine de la lumière physique, la recherche, la « quête » et l'étude de la lumière métaphysique doivent nécessairement s'orienter dans cette direction. Plusieurs rites religieux et/ou ésotériques, ont cherché, et parfois trouvé, à leur propre Orient (Proche-Orient, Moyen-Orient et Extrème-Orient), la source de la spiritualité, de la sagesse et de la connaissance sous toutes ses formes...

    De plus, l'élaboration et l'évolution des doctrines géographiques et astronomiques étaient basées en partie sur des éléments réels (parce que connus, déformés et répétés par tradition orale ou à l'aide de cartes plus ou moins grossières), ainsi que sur un désir profond inconscient, ou plutôt une intuition, qu'en raison de la symétrie et de l'harmonie des directions opposées, il devait exister nécessairement d'autres pays, d'autres continents et d'autres peuples...

    Dans le passé, plusieurs voyages ont été réalisés ainsi, soit par voie de terre, soit par voie de mer pour tâcher d'atteindre ces contrées mythiques où se confondaient la renaissance du Soleil et la promesse intuitive de révélations spirituelles et religieuses. Mais aussi la soif de découvrir des savoirs et des connaissances inimaginables, des peuples, des animaux et des produits inconnus...

     

     

  3. Occident = Ouest = Couchant = Ponant = Côté ou le Soleil et Vénus disparaissent

Du latin occidens, « (soleil) tombant ».

- Côté où l'on entre dans un Temple maçonnique. Il correspond au coucher du Soleil. L'Occident s'oppose à l'éclat et à la splendeur de l'Orient, où le Soleil nait. Symboliquement, pourtant, l'Occident représente le côté du concret (faisant le contrepoint de la création), de l'exécution, de l'organisation du travail. C’est le lieu, près des colonnes, où se paie le salaire des Apprentis et des Compagnons. Si l'Occident ne saurait exister sans l'Orient, le contraire est également vérifié. L'exécution et l'organisation sont inséparables de la création.

Nous pouvons également constater que dans le Temple, deux triangles sont représentés par les Officiers : le Triangle ascendant constitué au sommet par le Vénérable et à la base par les deux Surveillants (celui qui dirige et ceux qui font exécuter les ordres) et le Triangle descendant constitué par l’Orateur, le Secrétaire et le Couvreur (ceux qui organisent la Loge).

Comme le soleil se couche à l'Occident qui est l'opposé de l'Orient, l'axe Ouest - Est défini d'autres axes :

 

Occident - Ouest

Orient - Est

 

Porte, Triangle et Fenêtre

Fenêtre, Delta lumineux et Planche

 

Compas ouvert vers l'Orient

Equerre ouverte vers l'Occident

 

Le Couvreur
Les deux Surveillants

Le Vénérable
L'Orateur
Le Secrétaire

 

Satan

Dieu

 

Enfer

Paradis

 

Matière

Forme

 

Matérialisme

Spiritualité

 

Agitation

Sagesse

 

Vie active

Vie contemplative

 

Psychologie/Logique

Métaphysique

 

Corps physique

Ame universelle

 

Exotérisme/Conformité

Esotérisme/Science spirituelle

  1. Septentrion = Nord = Minuit = Côté à la droite du Soleil
  2. Du latin septentrio, « les sept boeufs de labour », l'Ourse polaire.

    - Comme synonyme du Nord, côté gauche du Temple (par rapport à l’entrée) où s'assoient les Apprentis, sous l'égide de la colonne B.·., et en direction du Second Surveillant, assis au Midi.

    - Heure symbolique, quand le soleil est au Nadir, à laquelle finissent la majorité des travaux maçonniques.

    Minuit représente l'origine du mouvement ascendant de la journée et étant l'origine de l'ascension solaire, on peut dire que la nuit est aussi « lumineuse ».

    Minuit représente aussi un point de rupture et l'origine du premier demi-parcours de l'esprit.

     

  3. Midi = Sud = Côté à la gauche du Soleil

De mi- et di, « jour », du latin diem.

- Comme synonyme du Sud, côté droit du Temple (par rapport à l'entrée) où s'assoient les Compagnons, sous l'égide de la colonne J.·., et en direction du Premier Surveillant, assis au Sud-Ouest.

- Heure symbolique, quand le soleil est au Zénith, à laquelle commencent la majorité des travaux maçonniques.

Le Midi représente l'immobilisation de la lumière dans sa course, le soleil ayant atteint le milieu du jour. Le Midi est aussi l'origine du mouvement descendant de la journée, car à Midi, il n’y aucune ombre projetée. Cela signifie un arrêt dans le mouvement cyclique et détermine un fragile équilibre (le point culminant de la lumière spirituelle, représentant le Créateur dans sa plénitude) avant que la lumière ne décline.

Midi représente aussi un point de rupture et l'origine du deuxième demi-parcours de l'esprit.

Comme le Septentrion est l'opposé du Midi, l'axe Septentrion - Midi défini d'autres axes:

 

Septentrion - Nord - Minuit - Gauche

Midi - Sud - Droite

 

Aucune Fenêtre

Une Fenêtre

 

1° Surveillant (Le Niveau)

2° Surveillant (La Perpendiculaire)

 

Colonne B.·.

Colonne J.·.

 

1° Pilier Géburah (Force) près du 1° Surveillant

1° Pilier Chesed (Grâce, Beauté) près du 2° Surveillant

 

2° Pilier (invisible) Binah, Intelligence, Compréhension

2° Pilier Chochmath (Sagesse) près du Vénérable

 

La Perpendiculaire (La Verticale)

Le Niveau (L'Horizontale)

 

Pierre Brute-Maillet-Ciseaux

Pierre cubique à pointe-Hache

 

Les Apprentis

Les Compagnons

 

Intensité maximum de la Lune

Intensité maximum du Soleil

 

Soleil spirituel - Initiation

Soleil physique - Travail

 

Origine ascendante

Origine descendante

 

Solstice d'hiver/jour court (21-22 Dec.)

Solstice d'été/jour long (21-22 Juin)

 

Conception

Réalisation

 

Repos

Travail

 

Midi obscur

Minuit lumineux

  1. Zénith = Opposé du Nadir = Point supérieur.
  2. D'une mauvaise lecture de l'arabe samt, semt, proprement « chemin» dans l'expression samt-ar-as, « chemin au dessus de la tête », chemin droit.

    Point imaginaire de la sphère céleste, situé à la verticale de nos têtes. Il s'oppose au Nadir

     

  3. Nadir = Opposé du Zénith = Point inférieur

De l'arabe nâdir, « opposé » (au zénith)

Point de la voûte céleste qui se trouve à la verticale de l'observateur et directement sous ses pieds.

La verticalité symbolise l'homme qui se différencie ainsi des autres êtres par la bipèdie et la station debout. L'homme représente alors le symbole de l'union des forces opposées : l'union de la matière lourde adhérente au sol et de la substance légère du monde céleste. L'homme, par sa volonté de transcender sa condition, agit alors à l'aide d'une réalité invisible, absente du monde des apparences.

La verticale créée par le Zénith et le Nadir symbolise aussi le temps et toute manifestation se déroule dans le temps.

Comme le Zénith est l'opposé du Nadir, l'axe vertical Zénith - Nadir défini d'autres axes :

 

Zénith

Nadir

 

Point supérieur

Point inférieur

 

Monde céleste

Monde souterrain

 

Energies cosmiques

Energies telluriques

 

Sphère céleste (infini)

Centre de la terre, puis infini

 

Evolution - Vie

Régression - Mort

 

Sommet de l'hémicycle évolutif

Point bas du processus involutif

 

Commencement du déclin

Commencement de l'ascension

 

Départ de l'hémicycle involutif

Début du processus évolutif

 

Vie éternelle

Vie temporelle

 

Infini

Fini

 

Spiritualisation

Matérialisation

 

Intuition

Conceptualisation

 

Signe des Poissons

Signe de la Vierge

 

Universalité

Individualisme

 

La mort est dans la vie

La vie est dans la mort

B - Plans du Microcosme et du Macrocosme

I . L'Homme est un Univers complet, à la fois Macrocosme et Microcosme :

  1. Imaginons l'homme debout, sur la terre, son regard est orienté vers l'Orient et il tourne le dos à l'Occident. S'il étend ses bras en croix, le Septentrion est à sa gauche et le Midi à sa droite. Le croisement des 3 axes se fait alors au niveau de la colonne vertébrale qui devient alors le lien entre les forces horizontales et l'axe des forces telluriques et cosmiques.
  2. Certains enseignements « extrême-orientaux » indiquent que ces différentes énergies, surtout celles qui montent et descendent le long de l'axe de la colonne vertébrale « opèrent » sur des centres de conscience énergétiques, appelés chakras. Il est intéressant de constater que, pour le Bouddhisme hindou, le nombre 7 représente aussi les 6 plus importants chakras (plexus nerveux et certains organes principaux), plus le centre cérébral supérieur, où pour chaque chakra, une force prédomine plus que les autres... Les 5 premiers sont des chakras « grossiers » (le 1° à la base de la colonne vertébrale, le 2° à la racine des parties génitales, le 3° dans la région du nombril, le 4° dans la région du coeur et le 5° à la base de la gorge), le 6° est un chakra « subtil » entre les deux sourcils et en liaison avec le centre cérébral supérieur qui le commande...

  3. Si nous prenons en compte le microcosme de la tête, devenant alors un univers fini (borné), il est intéressant de constater que le Nadir est le menton, le Zénith le sommet du crâne. On peut alors découvrir d'autres analogies, « opposant » par exemple la parole à la réflexion, le cerveau-hémisphére droit (qui commande le côté gauche du corps et préside à l'action « muette » d'une pensée par signe, image et son) au cerveau-hémisphére gauche (qui commande le côté droit du corps et le « langage »), etc...

II . La Terre est un Univers complet, à la fois Macrocosme et Microcosme :

  1. La découverte et la connaissance de la Terre et de l'Univers ont été guidées par les tentatives d'identification de l'Homme à ces entitées, par la symbolisation à l'homme de la Terre et du Cosmos et inversement...
  2. Cette analogie entre le microcosme et le macrocosme est la véritable clef du symbolisme figuratif qui utilise les éléments de la nature pour exprimer les conceptions de l'esprit : le monde spirituel se reflète dans le miroir des choses visibles en images inversées...

III . Le Temple est un Univers complet, à la fois Macrocosme et Microcosme :

  1. Au premier niveau du microcosme, je vois tout d’abord la représentation de l'homme dans le Temple, réceptacle de plus en plus conscient des énergies à la superficie de la terre (le plan des 4 directions horizontales) et qui va découvrir l'importance et la puissance de l'axe vertical (les 2 directions verticales), unissant les profondeurs de la terre à l'infini du cosmos.
  2. Si l'on ramène l'organisation de la Loge au corps humain, nous pouvons parfaitement inscrire ce dernier, allongé sur le dos (ainsi que le pentagramme qui le représente), dans cette Loge. La tête, à l'Orient, représente alors le Vénérable, ses bras sont l'Orateur et le Secrétaire, ses mains le Trésorier et l'Hospitalier, ses jambes les deux Surveillants et ses pieds le ou les Couvreurs. L'homme, ainsi allongé, regarderait alors en direction du Zénith en tournant la tête au Nadir...
  3. Imaginons maintenant que cet homme soit un Apprenti et donc placé au Septentrion sur la Colonne de Gauche et sous la direction du 2° Surveillant qui est au Midi. De cette façon et parce qu'il a besoin d'être éclairé, il reçoit directement la Lumière par la fenêtre du Midi. C’est, pour le moment, son axe principal qui lui apporte force et chaleur, et il regarde les Compagnons et les Maîtres comme des modèles. Il peut également mesurer le long chemin qui devra l'amener de l'Occident où il est entré, pour recevoir l'Initiation, en passant par le Septentrion où il se trouve actuellement, pour espérer ensuite compléter le deuxième côté de la première équerre, lorsqu’il sera définitivement formé et admis comme Compagnon au Midi.
  4. Plus tard, lorsqu'il aura parcouru les 4 directions horizontales et les 2 verticales et qu'il sera devenu Maître, l'homme, parfaitement initié, devra à son tour et à partir de son Temple intérieur (où il aura concentré toutes les énergies) appliquer et faire rayonner à l'extérieur du Temple maçonnique cette énergie...

 

C - Conclusion :

Nous pouvons remarquer que ces 6 directions (les 4 horizontales et le Zénith-Nadir) déterminent un symbolisme général qui est un symbolisme cyclique basé sur la polarisation des oppositions et des contraires.

Les forces opposées sont toujours nécessaires à l'une et à l'autre et l'une ne saurait exister sans l'autre... La vie réside dans une polarisation, une dissymétrie et dans l'équilibre de deux forces opposées du plus petit microcosme au plus grand macrocosme...

 

Dans le symbolisme des nombres, le nombre 6 représente aussi la stabilité, l'équilibre : le sceau de Salomon et l'Homme universel.

Si nous imaginons maintenant que le point de jonction des 6 directions énergétiques créé un 7° foyer énergétique « rayonnant », il est intéressant de constater que, pour les kabbalistes, le nombre 7 symbolise l'alliance avec Dieu (tout comme le 7° chakra du Bouddhisme)...

 

En guise de conclusion, et pour respecter le symbolisme des oppositions, je voudrais citer une partie de l'introduction du livre de Luc Benoist - Signes, symboles et mythes - Que sais-je? :

« ... le rôle du symbolisme consiste à exprimer n'importe quelle idée d'une manière qui soit accessible à tout le monde.

Etymologiquement le mot symbole vient du grec sumballein qui signifie lier ensemble. Un sumbalon était un signe de reconnaissance, un objet coupé en deux moitiés dont le rapprochement permettait aux porteurs de chaque partie de se reconnaître comme frères et de s'acceuillir comme tels sans s'être jamais vu auparavant.

Or dans l'ordre des idées un symbole est également un élément riche de méditation et d'analogie. Il unit les contradictoires et réduit les oppositions. On ne peut rien comprendre, ni rien communiquer sans sa participation. La logique en dépend puisqu’elle fait appel au concept d'équivalence et la mathématique elle même avec ses chiffres ne s’exprime qu’en symboles.

La vie surtout est la source la plus féconde de ces procédés et sa plus antique utilisatrice. Elle les manifestait en même temps que l'homme primitif émettait le premier mot articulé. C'est pourquoi un symbolisme vital et organique exprimera toujours mieux qu’un autre les vérités d'ordre spirituel, comme en témoignent les paraboles évangéliques. C'est pourquoi aussi la biologie d'aujourd'hui avec ses nouvelles sciences du vivant, qui se multiplient en disciplines dérivées, est en passe de remplacer dans leur ancienne primauté aussi bien une mathématique trop inhumaine qu’une philosophie trop littéraire, plus attachée à un illusionnisme verbal qu’aux choses concrétes. »

N'oublions pas, non plus, le « secret » transmis par le renard au Petit Prince : « On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux... ».

Point de vue « personnel » : le symbolisme et faire semblant...

Aussi loin que je puisse remonter dans mes souvenirs, j'ai toujours ressenti profondément en moi la vacuité, la vanité et le décalage des « ordres » établis par rapport à mon instinct de survie et mon intuition. Famille, patrie, éducation et religion, tous ces archétypes « imposés » pour mieux tenter de masquer une vérité fuyante et insaisissable après laquelle je courrais, et je cours encore parfois : le règne de la compréhension intelligente et de l'amour vrai...

C'est vrai, mon « spleen » à moi, qui m'a tant fait souffrir et m'interroger sans cesse, ce fut tout d’abord une perception horrifiée de la « singerie » de la vie familiale où les rapports étaient, comme le disait l'un de mes frères « réduits aux strictes nécessités du service » : la forme symbolique sans les sentiments vrais de l'Amour...

Ce fut aussi mon arrivée en France, où rejeté par des petits camarades qui, pétris des discours familiaux, assimilaient tous les Pieds-noirs à des « sueurs de burnous » et des voleurs de travail et d'argent des « bons » français : la forme symbolique sans la réalité de l'égalité et de la fraternité véritables...

Ce fut encore la religion catholique où je rêvais d'action dans le temporel pour suivre les implications du symbolisme spirituel et puis, la grande question de la Foi « imposée » malhabilement par des prêtres, le plus souvent serviteurs trop zélés de mystères qu'ils ne savaient pas m'expliquer : la forme symbolique sans la réalité tranquille de la Foi...

Ce fut également le monde du lycée et de la faculté où le respect de la hiérarchie du « savoir » imposait de recevoir, sans broncher, la « vérité » par l'intermédiaire de professeurs, qui le plus souvent, s'écoutaient parler avec délectation : la forme symbolique sans l'écoute partagée...

Ce fut toujours le monde de la politique où le règne des faux-semblants et des mensonges sont érigés en systèmes de survie par une caste « vidéo-chrétienne » où les indices médiatiques de la « starmania » sont érigés en symboles creux de « satisfaction » des consommateurs dits politiques... Pour la plupart d'entre eux, l'idée ébauchée, à peine esquissée, vaut plus que la réalisation achevée : la forme symbolique sans la liberté, l'égalité et la fraternité vraies...

C'est pourquoi, la finalité de faire rayonner les énergies que nous avons concentrées à l'intérieur du Temple, puis à l'extérieur entre nous; ensuite avec une autre loge, d'une autre obédience (Je pense à ma loge d'adoption « Fénix » à l'Orient de Lisbonne) est formidable pour moi... C'est un moyen extraordinaire de partager la vraie lumière dans le même rite et surtout avec des sensibilités et des histoires différentes...

Vivre ainsi, dans le temporel, le symbolisme maçonnique en partageant la même fraternité dans deux pays distincts parlant deux langues différentes est un enrichissement permanent qui m'enthousiasme chaque fois davantage, lors de mes déplacements vers l'Orient de Paris ou l'Orient de Lisbonne...