MA POÉSIE

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Bien le bonsoir cher(re) mortel(le)!
Voici quelques pensées et poèmes de mortel(le)s à l'âme vampirique.




Je vous prierais de ne pas prendre ces poèmes pour les copier, Merci


MENTION SPÉCIALE POUR CE MAGNIFIQUE POÈME!
Pour le dire en vos mots... il est mon coup de coeur...

" Lestat De Lioncourt "

Jamais je n'aurais cru
ne serait-ce qu'un seul instant
que tout ce que j'ai vécu
aurait fait de moi cette enfant ...


Qui rêve d'amours impossibles
Qui aime dans le vide
pour avoir tant manqué d'affection
qui peu à peu, perd la raison
Jamais je n'aurais pu imaginer
ne serait-ce qu'un moment
qu'au bout de tout ce que j'ai du traverser
la douleur n'aurait fait que s'étendre avec le temps
Une douleur qui nous fait oublier que les moments de chaleur humaine existent
Une douleur qui nous rapelle qu'il est grand temps d'être réalistes:
l'amour n'existe pas.


c'est alors que je me suis tourné vers la nuit et ses lois glaciales
vers les domaines fantaisistes et leurs forces du mal
avant de perdre tout espoir j'ai relevé la tête
j'y ai vu la beauté même, la première aurore, la bête


"Lestat De Lioncourt", s'est-il présenté en me tendant la main.
J'ai tenté de me persuader de son inexistance, mais en vain.
"Il est grand temps de te montrer mon ame, si maudite soit-elle.
Tu y trouveras l'amour, ce qu'il n'y a point au commun des mortels."


"Tu n'as qu'à te donner tout entière, de la tête aux pieds
de me laisser faire de cette terre, un paradis pour ton ame damnée."
Ne voyant pas d'autres solutions, j'ai accepté.
Après tout, qui d'autre pourrais-je bien faire confiance?
A avoir été blessée comme je l'ai été,
comment cette tristesse pourrait-elle être plus intense?


D'un seul baiser, d'un seul...Doux...Baiser..
Dans ses bras, Lestat et moi nous sommes envolés
comme des oiseaux dans le ciel
Jamais ma vie n'a été aussi belle.


- Cruella Van Crystal



Oh Lestat,

Il eut une pluie..... Une pluie rouge... Une douce pluie de sang.

Le soleil se mourrait lentement, et je le contemplais, moi, sous un saule. Ce doux liquide rougeatre qui ruissellait sur mon corps... Mais ou étais-tu donc, Lestat?

pendant tout ce temps....

Je t'attendrai, Lestat... Jusqu'a mon dernier jour.. Mon dernier souffle.

- Cruella Van Crystal



La sagesse réside dans le coeur et dans l'âme, alors soit ce que tu es et non pas ce que la société a fait de toi.

Paguéla Van Vek



Mon souffle est une tempête et mon océan est un torrent qui ne cherchent qu'à s'exalter. Sauvages sont les dunes qui appaisent mon coeur et bercent mon corps. Mais à jamais, la Lune en témoigne, mon âme ne cessera de t'attendre. Toi, Chevalier de la nuit, seul détenteur de la clé de ma liberté et de mon Salut.

Paguéla



Un coeur à aimer

Déchirer, trahis, morcelé
Le coeur de la Belle a trop souffert déjà
De tous ces chevaliers se disant preux et galants
De toutes ces compères se disant amies et confidantes

Désormais endormis, elle rêve sans vie
Que sous une nuit parsemée d'étoiles d'argents
Là où la Lune veille sans faille
Un chevalier aux yeux d'émeraudes sortit de nul part

La Belle s'étant perdue et blessée dans le bois
Celui-ci, au regard d'un ange, la porta jusque dans sa caverne où il la soigna tendrement

Mais la Belle, au cœur blessé
Réticente à se laisser charmer par ses tendres paroles
S'enfuya lorsque guérie

Mais c'est sous une Lune ronde de magie
Que sous le chêne quelques nuits passées
Que pour la vie la Belle s'unis avec ce chevalier du clair de Lune
Se faisant milles promesses dans l'ivresse de leur amour


Paguéla



Ma vie est sans vie
Ma mort est sans tord
Toi qui est là
Écoutes-moi
Si tu as des rêves
Accroches-toi sans trêve
Sinon, tout comme moi
Ta poésie diras
Ma vie est sans vie
Ma mort sans tort

Paguéla Van Vek



Mon amour

Mon amour est immortel
il est irréel
il est comme une aile
une aile douce et soyeuse

Comme une caresse
il est plein de tendresse
mais je mourrai avant de la connaître
avant de l'avoir vu naître

Car à tout jamais je me serai éteinte
emportant avec moi l'espoir
de savoir le véritable amour.

Paguéla Van Vek



J'en mourrai peut-être un soir, mais je finirai par comprendre pourquoi l'on a fait de moi ce que je suis.

Kayron Di Valec



Les incultes

Race d'impis
ne voyant que leur reflet dans le miroir du lac
tous des malapris
se moquant de toutes différences d'un sourire maniaque

Noyez-vous infâme reflet
car vous n'êtes en aucun cas beauté de la terre
si seulement vos coeurs aimaient
vous ne nous infligeriez pas de telles misères

Que le diable vous emporte
puisqu'il n'aime lui aussi que sa propre personne
ne venez pas me demander main forte
car à votre sort je vous abandonne

Kayron Di Valec



Poème pour mon HART

Le temps venu je partirai
Les étoiles guideront mon chemin
De votre amour elles sont illuminées
M'amenant vers mon destin

Aujourd'hui je suis parmi vous
Oh peuple d'amour souffrance
Mais demain que diriez vous
Si prenait fin toute mon errance

N'ayez crainte je serai toujours là
J'ai fait promesse de vous protéger
De l'étoile qui brille là bas
Je ne cesserai de vous contempler

Alors dites-moi avant ce jour
Ce que personne n'a pu savoir
Le souffrance naît-elle de l'amour
Ou bien du désespoir

Kayron Di Valec



Mon amour impossible…

J'ai voulu sentir ton odeur…
Mais je ne sentit que le vent.

J'ai voulu entendre ta voie…
Mais je ne captai que le néant.

J'ai voulu regarder ton visage…
Mais un voile noir masqua mes yeux.

J'ai voulu te prendre la main…
Mais on avait coupé les miennes.

J'ai tellement voulu t'aimer
Que l'on m'a soutirer le cœur
Et quand j'ai voulu t'appeler à l'aide
On m'avait bâillonné depuis des heures.

Kayron Di Valec



Un puit,
si long et si profond,
où rien ne luit,
juste des souvenirs sombres.


Mes jambes, une à une,
passe le rebords en pierre,
je vois ce fond, qui même à la lune,
ne daigne pas me sourrire.


Je suis assise sur le bord,
une tangeante ma vie,
ou bien pour ma prochaine mort,
et ce trou béant ouvert face à mes yeux.


Sur mes épaules une mains puissante,
elle retient courageuse ma vie de dépravée,
sans lacunes dans ses yeux et avec sa peau luisante,
il me repêche de la mort et de ce saut fatal.


Pas une parole, pas un soupir,
rien qu'un silence, entourrant nos deux êtres
d'une chaleur grisante et un peu suffocante
la fin de ma vie, le début du délir


Confrontée toutes nuits,
au dileme puissant que mon âme appelée
Laissait la vie, ou en faire des soucis
Et chaque nuits, sur mon oreiller, je pleurais.


Ses mains douces et soyeuses, ont retenu
un instant dans la nuit
la flamme de vie qui je ne supportais plus
maintenant face à lui, mes prières exaussées


Je vois toutes les nuits,
les êtres que j'aimais,
devenir cendres ou bien ils s'enfuient,
mon vampire transi m'a condamné.


Et depuis cette nuits,
où mes rêves exhaussé,
peu à peu sont retournées vers le gris de ma vie
que jadis j'avais tenté de supprimer.


Je n'en veut à ce vampire
qui un soir, plus vrai que nature,
à prit ma vie et en fait éclore une autre
pour qu'à l'éternité je pleurs sur mon oreiller.


Liz Aberthson



A Lestat

La nuit, lorsque je t'attends
J'entends tes pas et le frémissement
Et le sang tombe comme la pluie
Et je m'ennivre de toi toute la nuit.


L e seul, l'unique, le sang
E nvie de toi comme d'une caresse
S entir ta peau contre mon corps
T out en m'effleurant comme le vent
A moureux, à la vie, à la mort
T oujours éternelle sera notre jeunesse.

Julia, poète immortelle.



Songe

J'attendais, ô, j'attendais
En espérant que tu viendrais
A cette triste réalité, m'enlever
Par un doux baiser m'offrant la liberté
Cette petite morsure dans le cou
Où mon sang n'a cessé de bouillir
Je t'offrirai tout
Pourtant tu m'as longtemps fait languir...

Ô, mon Prince des Ténèbres, que prennent corps nos désirs,
Car c'est avec toi que je voudrais partir,
Dans les profondeurs de la nuit,
Qui de son manteau viendrait nous couvrir,
Lors des douze coups de minuit.
Et nous, sensuellement entrelacés entre tes draps de soie,
Carpe diem mon amour, nous cueillerons la vie d'autrui,
De ceux qui nous ont châtié, de ces humains aux mauvaises fois,
Mais pour nous, Immortels, que nous importe leur funeste vie !
L'âme damnée, je partage tes plaisirs vampiriques,
Que de cette douce torpeur naisse ce rêve lyrique,
Ô Dieu, pardonnez cet amour apostat,
A jamais je t'appartiendrai et tu m'appartiendras.

Et quand à l'horizon pointe la fatale aurore,
Notre crypte nous ouvre ses portes à tous deux.
Au frais, ma tête contre ton épaule, je m'endors,
Tout en respirant tes doux cheveux...
Oui, juste moi et mon maléfique dieu...

Cette nuit, les canines acérées
Nous allons encore frapper
Nous, bourreaux de l'humanité
Notre temps ne s'est pas achevé
Et notre soif ne sera jamais rassasiée
Oui, Mortels, préparez vos saignées
Car les amants maléfiques viennent d'entrer !

Patricia.



A Louis

Aime-moi pour toujours
Toi qui as su prendre mon coeur
Depuis le premier jour
A la première lueur
Notre seule différence
Est ta soif de sang
Mais pour ma préférence
On s'aimera au fil des ans.


L ongue est la vie sans toi
O h, je te veux pour toujours
U nique est notre amour
I noubliable ton baiser
S exy pour l'éternité.


Priscilla



Les Damnés

Marchant sous la lune des Enfers,
Main dans la main, ivres de sang
Frais. Immortels, tous puissants,
Nous, Saltimbanques de Lucifer !
Car perdus dans nos abîmes,
L'amour pour nous se fait hymne,
Et coule à travers siècles et rêves,
Aussi doux que ce sang sur tes lèvres...


Carmilla



Ma Nuit

La nuit est mon refuge
Et mon âme sonne le glas
Pleure sur mon coeur
L' Eternité, tel un déluge.
J'ai quitté ce monde ici-bas
Avec cette âme en pleur
Cette peine que je purge
Dans l'ombre de mon vain trépas.


Carmilla



Jusqu'à la mort

Le soleil vient de se coucher
Pour hisser cette pâle obscurité
La lune restera-t-elle
Comme nous, éternelle?

Dans ce lit qui nous déchire
Je veux dormir sans soupirs
Et finir damnée sans regrets
Puisque nous sommes sans reflets.

Nos corps enlacés, éclairés à la bougie
Jusqu'à ce que la mort trépasse
Resteront unis toutes les nuits
Pour voir le temps qui passe.

Ange déchu dépourvu de foi
J'aurais pu mourir cent fois
Si j'avais dû vivre sans toi
Mais ton sang coule en moi.

Julia.




A l'Astre qui m'a vu naître
Et qui me verra mourir,
Est-ce moi qu'on nomme traître,
Pour mon refus de pourrir?
Tes rayons me sont restés interdits
Et ta chaleur m'est défendue.
La souffrance a fait de moi un maudit
Et de mort je suis éperdu.
Ce matin, j'ai décidé de voir
La plus belle aurore de ma vie.
Qu'au commencement d'un nouveau soir
Saigne la fin de cette vie.
Car, je t'aime, toi qui m'as vu naître
Et qui me regarderas périr,
Foetus, dans l'innocence de ton être.


Carmilla.



À Lestat

Il a une ombre dans le vent je crois qu'une tragédie m'attends comment lui avouer comme je l'aime sans lui faire par de mes problèmes Le pire es encore a venir Sait-il que pour lui je donnerai ma vie je rêve souvent qu'il m'aime éperdument même si ces qu'un tourment Autour de moi tout le monde m'acclame même si je brûle d'une toute autre flamme parfois ma vie me semble un drame Pourra t'il un jour m'offrir son amour se n'est pas mon destin mais je l'espère en vain

Johanie



Face à la mort du soleil levant - "Lestat - ses réflexions sur sa personne avant le grand saut"

De la flamme de l'enfer
tu jaillis pervers, malin esprit
tout pétri de vie

Abominable et admirable
tu tends tes bras charmants
vers l'amant de chair et de sang
que tes canines perceront
de leur redoutable éperon
de lave et de crime

Abîme profonds, désespoirs du miroir
de passions inassouvies
et taries par le flot du temps
que charrie la rivière de l'oubli

Oh bienheureuse quiétude
apaisée par la mort
ultime ressort d'une vie à sa fin
pour le début d'une ère de lumière
et de paix

Accueille moi dans tes rayons de feu pour l'éternité

Florence



Crépuscule

Illuminé par une lune malade et fatigué
Je marche...
Parcourant ma vie solitaire par choix.
A travers un Champs,
Saint par définition à la recherche de mes démons.
Où etes-vous ?
Le silence me ouate , m'opprime,
Irréel , magique, fascinant
Souvenirs....
Evanouient, plaisants...construient pour les rendres tels
Je me trompe d'avoir vécu
Seulement maintenant je me rend compte de la réalité
Mais dans le silence des sépulcres
Accompagné par des feux follets
J'ai trouvé la paix en m'acheminant vers le crépuscule.


Akasha



Vampire

Je voudrais être comme lui,
Pour pouvoir vivre dans la nuit,
Pour m'abreuver de sang humain,
Pour me coucher au petit matin,

Je veux mordre dans la vie,
Dans le cou de mes ennemis,
Je veux pouvoir voyager,
Sans jamais, de la mort, me soucier,

Ce que je veux devenir,
On appelle cela un vampire,
Je serais belle,
Je serais immortelle.


Julie



Adès,

Dieu des Morts,
Éternelle est ton Âme,
Sensible est ton Cœur !

Fantôme de la Nuit,
Vampire depuis le Début des Temps
Je vous Traque et vous Poursuit
Par l'Odeur de votre Sang

Les Ténèbres sont ma Demeure
La Nuit est mon Refuge
Le Sang est ma Vie
La Lumière est ma Mort

Mon Âme est Immortelle
Mon Amour Éternel
Je suis le Mort Vivante des Cauchemars
Qui Glace le Sang des Mortels

Ma peau Lisse et Blanche
Reflète la Lumière de mon Âme
Lumière de ma Peine et de mon Désespoir
Que je cache sans cesse sous mon Apparence

Mes plus beaux Souvenirs
Naissent de l'Obscurité
Maintenant il ne me reste que la Solitude
Pour noyer mon Chagrin…

Valek



La morsure

Il est une ombre,
Un corbeau sortant de la pénombre,
Malgré la pluie et le froid,
Je perçoit ses pas,

S'approchant de moi lentement,
Je l'épie tendrement,
Il me trouve, je l'approuve,
Et cette sensation que j'éprouve,

Ce réconfort, ces lèvres couleur de sang,
Se reposant sur les miennes,
N'est-ce pas aussi effrayant?
Que son baiser immortel? Amen

TRILUZ



A Lestat...

Allongée sur mon lit, je t'attends.
Ô toi mon tendre démon.
Et mes rêves glissent lentement
Vers ton visage mon prince blond.

Je ne vis que pour ces moments
Où entre mes draps je te vois.
Tu t'approches de moi,
Tu m'étreins en me chuchotant tendrement:

"Déesse des mes songes"
Tu t'écartes doucement
Et nous nous élevons dans le firmamant.
Mais tout ceci n'est qu'un mensonge:

Je me réveille toujours abandonnée.
Il n'y a aucun bruit.
Et je n'ai que pour compagnie,
Mes larmes et mes rêves enchantés...

Maharet.22



L’amour pour toujours

Dans mes rêves tu est venue
Me demandant de laissé mes buts

Je t’ai écouté
Et j’ai tout laissé tombé

J’étais prête a perdre ma vie
Pour vivre avec toi l’infinie

Toi âme, érent dans la nuit
Moi, qui t’attend au bord d’un puit

Je t’ai attendu
Mais tu n’ai pas venue

Longtemps je suis resté
A cette endroit pour te chercher

L’aube arrivait
Et l’espoir disparaissait

J’ai pleuré
Contre le puit appuyer

Mes doigt trop longtemps crispé
On touché une roche gravé

J’ai vu cœur
Avec nos nom a l’intérieur

A cette instant j’ai comprie
Que seul tu étais partie

Pour toujours
Tu restera mon amour

Et pour toujours
Je resterai ton amour

Tu n’as pas souhaité
Me faire vivre l’éternité

Peut-être avais-tu une bonne raison
Je crois devoir la laissé coulé sous mon ponts

Tu n’ais plus dans mes rêves mais tu est dans mon cœur
Et tu y a place jusqu'à ce que je meurt

Je t’aimerais toujours
De Maéva van stapril





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