Samarcande


Tapis Persans


Comment échapper à la fascination du tapis d’Orient? Ce n’est pas seulement la beauté des dessins et des coloris qui nous touche, mais également l’attrait du produit exotique: les décors étranges, insolites, leur assemblage particulier, les couleurs sombres ou, au contraire chatoyantes qui confèrent au tapis une note mystérieuse.


  1. Samarcande
  2. Origine du tapis persan
  3. En images


Samarcande


« Depuis maintenant un an, Samarcande, cet écrin original vous conduit sur la route de la soie et de l'Orient
Un endroit différent des autres.
Un lieu qui vous donne envie d’y entrer pour voir s’entrecroiser tapis contemporains et tapis anciens.
Tous ces tapis, oeuvres d’art originales, ont été choisis avec le plus grand soin.
Dans une ambiance agréable, Katiba Ordoukhani vous conseillera au mieux dans vos attentes et exigences de décoration.
Elle fait partie d’une famille ayant une longue tradition dans le commerce du tapis persan.
En outre vous y découvrirez un large éventail de services comme la présentation à domicile, sans engagement, la restauration et le nettoyage de vos tapis.
C’est pourquoi j’ai eu l’envie de vous faire part de ma nouvelle découverte.

Vous cherchez un tapis, vous voulez faire un cadeau ou simplement pour le plaisir des yeux, n'hésitez pas à venir découvrir Samarcande, la magie de l'Orient et ses prix d'été. »




Katiba Ordoukhani
Chaussée de Vleurgat 293
1050 Bruxelles Belgique
tél: 00 32 2 346 85 50
fax: 00 32 2 648 27 85



Origine du tapis persan


L’origine du tapis peut se résumer à deux grandes théories.

Hypothèse n°1

Selon cette première hypothèse, la création du tapis persan remonterait à un époque primitive et reculée. Il serait l’oeuvre de frustres populations nomades, qui cherchaient ainsi à se protéger de la froideur du sol sans que cela leur coûte le sacrifice de la toison de leurs précieux animaux.
Les premiers tapis auraient donc été fabriqués sur de rudimentaires métiers horizontaux, facilement démontables et transportables, et il n’auraient été, au début, qu’un objet d’usage domestique et non une oeuvre d’art.
C’est un peu plus tard seulement que serait né le plaisir esthétique, le désir de décorer l’intérieur des tentes avec des pièces de tissu très particulières; elles auraient, alors, été agrémentées de plusieurs couleurs et de dessins variés, ces derniers étant devenus, par la suite, des motifs décoratifs constants.
Au fil du temps, ces populations nomades auraient fait connaître leurs créations dans les villages et les villes, lesquels se les seraient appropriés.




Hypothèse n°2

Selon cette deuxième hypothèse, le tapis aurait fait son apparition, également à une époque reculée, mais plus évoluée, et dans des sociétés sédentaires qui utilisaient déjà le métier vertical.
De plus, il aurait été créé pour satisfaire une exigence esthétique précise: le décor de l’intérieur des habitations, qui, désormais, étaient fixes.
Dès son apparition, le tapis aurait donc eu une motivation artistique indissociable de sa destination rituelle et de son rôle d’objet de cour. Ce n’est que plus tard que les populations nomades auraient adopté ce nouveau produit, en faisant alors un objet plus sommaire et primitif, exécuté sur des métiers horizontaux, lesquels étaient obtenus en adaptant à leur mode de vie différent les métiers verticaux, qui étaient plus évolués.




En images

Tapis1
Tapis2
Tapis3