Les années 80 ont été des années de félicité pour les prédateurs. Internet a montré son nez et les ordures que sont les pédophiles ont commencé à frétiller. Il y avait là un moyen extraordinaire de recrutement et de diffusion de toutes ces images qui font bander ces impuissants. Parce qu'ils ne sont rien d'autre que des impuissants vicieux pour oser s'attaquer à une des seules choses qui restent encore propres sur notre planète, c'est-à-dire les enfants. Bien sûr, on a commencé à parler beaucoup d'eux avec Dutroux, mais il y a tous les autres. Toutes ces ordures qui ne rêvent que de salir l'innocence, qui sont à l'affût du moindre sexe, qu'il soit garçon ou fille, à la condition qu'il soit petit et virginal, tous ces dégénérés, qui paieraient n'importe quelle somme afin de pouvoir se "faire" un enfant, un tout petit enfant ou encore mieux un nourrisson.
Alors messieurs, non pas messieurs, cela serait deshonorer ce nom, vous avez aimé Internet et c'est toujours votre lieu de chasse favori. Nous allons inverser les rôles, Internet va devenir NOTRE lieu de chasse, une chasse ouverte toute l'année, de jour comme de nuit, sans jour de fermeture, où la chasse sera permise sans permis et où le braconnage sera encouragé. Vous avez profité du développement d'Internet, à nous d'en profiter à notre tour. Il faut que 365 jours par an la chasse aux prédateurs soit ouverte.
Surfeurs, mes frères, à vos claviers. Explorons, cherchons et surtout parlons. Combien d'entre nous sommes tombés par hasard sur des sites de pornographie infantile? Certainement plus que l'on croit. Et qu'avons-nous fait? Rien ou pas grand chose pour la plupart, sinon être envahis d'un sentiment de dégoût. Et pourquoi, peut-être par honte ou par peur d'être accusés d'avoir vu ce qui ne devrait pas l'être, ou peut-être simplement par paresse. Oublions la paresse, la honte ou la peur, notons ces adresses et surtout dénonçons-les. Dénonçons ces sodomisateurs, ces bourreaux, ces voleurs d'innocence. Transformons les pédophiles en gibier, soyons les exécuteurs des bourreaux en les traquant, en les dénonçant et en les détruisant.
Dénoncer celui qui s'attaque à des enfants n'est en aucun cas de la délation mais seulement un acte de salubrité publique comparable au travail que font les employés de la voirie lorsqu'ils débarrassent les trottoirs de nos cités des merdes de chiens qui les encombrent. Ils ne peuvent être comparés à rien d'autre.