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L’histoire des Familles Toledano
Pour ceux qui portent ce nom, le nom de la famille Toledano signifie la ville de la naissance de leur ancêtre, fondateur de cette dynastie. Il existe une légende répandue au sujet de l’origine du nom de la famille. On raconte que lorsqu’ ils ont quitté la ville de Toledo au temps de l’expulsion d’Espagne, ils ont adopté le nom ‘Toleda-No ‘, pour indiquer qu’ils ont pris le serment pour eux-mêmes et pour tous leurs descendants, de ne jamais revenir habiter dans cette ville. Cependant, nous savons que c’est seulement un mythe, car on a trouvé en Espagne des Juifs qui portent le nom de Toledano, plus de 250 années avant leur expulsion, suite à l’Inquisition en Espagne de 1492. La vérité est que, l’ Espagnol qui portent ce nom, peut vouloir dire que c’est une personne qui vient de la ville de “ Toledo “.
La documentation
La plus large et la plus fiable collection documentaire que nous possédons sur la famille, se base sur la documentation relative à l’arbre généalogique du Rabbin Daniel ben Joseph Toledano, laquelle elle-même est basée sur les “ketoubot” (Actes de mariage) des membres de la famille. De plus il existe des manuscripts, livres, “takanot”(des Ordonnances), et “she’elot uteshuvot “ (responsa= Questions et Réponses), écrits par les membres de la famille depuis le milieu du 17ème siècle à ce jour. Il existe également une documentation fiable qu’on a trouvée dans les archives en Espagne, allant du milieu du 13ème siècle jusqu’à l’expulsion, qui se rapporte aux gens qui portent le nom de la famille Toledano et qui vivaient dans la Péninsule Ibérique.
La Famille de Salonique
Il n’y a pas aucune preuve fiable qui prouve que la famille est arrivée à Salonique après l’expulsion d’Espagne en 1492. Il est tout à fait possible qu’ils soient arrivés avant cette date, peut-être à cause de la persécution des Juifs en Espagne, et en particulier, dans la province de Catalogne en 1391, qui est connu selon nos sources comme “L’Expulsion Moindre”. (Giroush Katan).
Isaac Samuel Emanuel, dans son livre, « Gedoley Saloniki Ledorotam » ou (Les Figures les plus marquantes de Salonique à travers les Générations), enregistre à la page 5 “Quelques dix mille exilés, arrivés à Salonique à partir de 1492 .Ces exilés ont trouvé quelques-uns de leur concitoyens qui les ont précédés. Ils ont fondé de petites communautés indépendantes. Ils ont construit des synagogues pour lesquelles ils ont donné le nom de leur ville d’origine, et où ils ont conservé les us et coutumes de leurs ancêtres. Chaque communauté avait ses propres institutions et responsables communautaires tels que, le professeur de Torah, le Haham, le Parnas, le Gabbai, la Yeshiva, le Beit Din et la Hevra Kadisha etc. En raison de l’intérêt public le plus important, tous les fonctionnaires de plusieurs communautés organisaient des assemblées et édictaient des réglements valides pour près de dix années à l’avantage de tous les Juifs de la ville, à l’instar de ce qu’ils avaient fait auparavant en Castille”. [Ce modèle était une continuation du processus de prises de décisions tel qu’établi à Valladolid en 1432, et a persisté dans Salonique jusqu’en 1680. Y. T.]
Voici des événements qui ont eu lieu à Salonique depuis l’arrivée des exilés jusqu’à l’époque de Daniel ben Joseph Toledano, à partir duquel plusieurs branches sont issues. À l’automne de 1509, un tremblement de terre a secoué la ville, et autour de 1510, Don Isaac Abarbanel s’y est établi et a appris la Torah à la Yeshiva de R. Joseph El Fassi.En 1515, Don Yehouda Gedaliah a établi une imprimerie, avec un équipement d’imprimerie qu’il a apporté de la maison d’édition d’Eliezer Toledano de Lisbonne. Shlomo Molcho y est arrivé pour une visite aux environs de 1526, et Rabbi Yosef Karo l’a également visité en 1533. En 1559 Dona Gracia Mendes a établi la synagogue “ Liviat Hen” pour les réfugiés convertis (Conversos) venant du Portugal (ils ont continué à fuir d’Espagne et du Portugal). À chacune des années suivantes des fléaux sont survenus et ont ravagé la ville –1534, 1545, 1546, 1548, 1550, 1553, 1564, 1568, 1569, et dans les années 1581, 1591, 1592. Cent Juifs sont morts et cinq mille maisons ont été détruites par le feu le 13 juillet 1545, et en 1587 un autre feu s’est déclaré. Lors du Shabbat 27.12.1572, il y avait eu un autre tremblement de terre majeur et dans les années 1577 et en1588 un autre fléau a occasionné un grand nombre de victimes”. (Isaac S. Emmanuel, Le Proéminent de Salonika à travers les Générations, pages 6, 7 et 8). La population Juive de la ville a diminué en nombre et beaucoup de Juifs ont fui Salonique.
Tout ce que nous savons est que ce Rabbin Daniel ben Joseph Toledano est né à Salonique en 5330 (1570) dans une de ces famille d’exilés. Nous n’avons aucun détail sur son père Joseph ou sur son frère Barukh. Nous ne savons pas non plus, de quelle ville de Castile ou Catalogne sa famille est venue à Salonique. Nous savons par contre, que les deux fils du Rabbin Daniel, Hayim et Joseph, étaient nés tous les deux à Salonique. Nous savons aussi, que les membres de la famille Toledano qui vivaient à Salonique, ont appartenu à trois communautés: celles de Catalan, Mugrabis et Oreach (invités) et tous ceux qui n’avaient pas d’appartenance spécifique n’ont pas été inscrits sur le Registre de la Communauté (Pinkas).
Autour de 1570 la communauté de Catalogne s’est divisée en deux: la Nouvelle Communauté et la Vieille Communauté. En 1594, à cause des fléaux et des autres malchances mentionnés ci-dessus, le Rabbin Daniel ben Joseph Toledano a décidé de quitter Salonique. Le jeune Rabbin, âgé de 24 ans, avec ses deux fils Hayim et Joseph, ont immigré à Fez, Maroc. Et là, il a établi une Yeshiva. Il est notoirement connu que les autres familles Toledano n’ont pas quitté Salonique. En effet, nous trouvons la famille de Aaron ben Abraham Toledano qui est né à Salonique avant 1890. Il était professeur dans le grand Talmud Torah de Salonique, et en 1935 lui et sa femme font la Aliya et s’établissent à Tel Aviv. Ses deux fils, Hayim et Yitzhak et sa fille Bella ont fait la Aliyah avant même leurs parents. Hayim était actif dans la communauté tout en étant un journaliste; Yitzhak, un diplômé du département de l’architecture du Technion dans Haifa, a entrepris et conçu la synagogue pour les anciens résidents de Salonique sur Rechov Ibn Saruk à Tel Aviv. Il y avait également des membres des familles qui ont quitté d’ autres villes ainsi que d’autres pays. Nous avons trouvé sur la liste de ceux qui ont péri dans l’holocauste en 1943 dans Monastir (Bitola), Macedonia les noms de Menahem ben Joseph Toledano, sa femme Miriam, et leurs quatre enfants, Joseph, Jacob, Isaac et une fille Sonjo (Simha). Jacob ben Joseph et sa femme Rachel et leur quatre enfants, Sol, Joseph, Hayim et Hannah, et Sara la veuve de B. Toledano (son nom complet n’est pas connu), et leur cinq enfants: Rahamim, Reina, Vida, Sol et Solomon. Tous ont péri dans les chambres à gaz à Treblinka.
Le Cimetière de Salonique
Il y a des détails au sujet de plusieurs membres de la famille Toledano dans le livre édité par Dr. Isaac Samuel Emmanuel, Matzevot Saloniki [Pierres tombales de Salonique], qui sont enterrés dans le cimetière de Salonique. Peut-être qu’on peut supposer qu’il y a un rapport entre eux et la famille du Rabbin Daniel Toledano. Le livre contient des inscriptions trouvées dans le cimetière avant que les Nazis ne les détruisent. L’Université de Salonique occupe maintenant cet emplacement. Les inscriptions proviennent des tombes suivantes:
1. Pierre tombale #45, Isaac ben Samuel Toledano, mort en 1526.
2. Pierre tombale #210, Moses ben Samuel Toledano, mort en 1542. Il paraît qu’il était le frère d’Isaac (pierre tombale #45), et le père de Samuel le bien nanti (pierre tombale #420). Cette famille Toledano était membre des nouvelles communautés Mugrabis et Catalan. Voir ci-dessous, la description des synagogues des exilés Espagnols et Portugais de Salonique.
3. Pierre tombale #420, Samuel Toledano, mort en 1605. Dans le Pinkas (livre record) du Talmud Torah il est enregistré que dans l’année 5354 (1594) Samuel Toledano, un résident de Comergina, (aujourd’hui Komotini) Grèce, a donné 10,000 Azis à la condition que le salaire d’un professeur serait payé, à partir des intérêts gagnés sur ce montant déposé. Le Dayan Abraham Toledano (l’a mentionné en 1591 dans “Responsa Maharshak”, Partie 3, Page 106, colonne 2) et le parnas du Talmud Torah 1597-1598 Isaac Toledano (Sefunot, ibid. la page 43) ont vécu autour de la même période; voir la pierre tombale #45.
4. Pierre tombale #793, Isaac Toledano, mort en 1665.Il y a deux Hahamim [des Rabbins Séfarades) qui ont vécu presque à la même époque; celui-ci et R. Isaac qui est enterré sous la pierre tombale #958. Dans le livre Zikhron Saloniki [Mémoires de Salonique] édité par David A. Recanati, il est mentionné comme “Toledano Isaac, “ l’Éminent Haham “ tel que mentionné dans le livre Degel Torah Harim, 1665.”
5. Pierre tombale #958, Isaac Toledano, mort en 1684. “La famille de R. Isaac Toledano était venue de la ville de Toledo et a appartenu à la Nouvelle Communauté Catalan. Il paraît que son grand-père était le Rabbin du même nom et qui est mort en 1665, (pierre tombale #793); il était aussi un des responsables des Yeshivot dont R. Joseph David était inclus comme un de ses étudiants. En 1664 il était un des plus importants des Hahamim (Sages, Érudits) de cette ville. En date du 7ème jour de Tishrei 5424 (1664), il a signé comme témoin, avec R. Haim Shabtai (pierre tombale #1019) sur le testament de Jacob Alshikh. R. Abraham Gatenio écrit sur lui, “j’ai vu dans un manuscrit du “Haham”, un Sinaï et un supporter des montagnes [Termes Talmudiques utilisés pour un grand savant], un grand rabbin en Israël, notre professeur le Rabbin I. Toledano, qu’ il repose en paix. A sa mort, R. JOSEPH DAVID de la Nouvelle communauté Catalan, en a fait l’éloge et a fait référence à lui comme le ‘Haham Éminent’. Sa femme est morte à Jérusalem en 1716, et leur fils le Haham Solomon est mort à Salonique lors du fléau survenu le 27 Nisan 5457 (1697)”. (Isaac S. Emmanuel).
Les Synagogues des Exilés Espagnols et Portugais de Salonique
Dès leur arrivée à Salonique, les exilés d ‘Espagne et du Portugal ont aussitôt bâti des synagogues en plus de celles qu’ils avaient déjà faites dans leur existence. Les premières synagogues ont déjà été construites à la fins du 14ème-siècle par ceux qui ont fui les persécutions de 1391. Les exilés Espagnols ont prié régulièrement dans la synagogue de la communauté Mugrabis qui a existé avant leur arrivée dans la ville. Parmi les douzaines de synagogues qui ont existé dans Salonique et qui ont été détruites, nous voulons mentionner seulement trois d’entre elles, où des membres de la famille Toledano y ont prié habituellement. Elles sont décrites par A. A. (probablement Avraham. Almaliach) dans la publication trimestrielle, “Mizrah u’Ma’arav” [Est et Ouest], volume I, Jérusalem, 1920.
L’article lui-même été écrit avant la 1ère guerre mondiale.
1. La Synagogue Mugrabis–elle a été probablement fondée par des Juifs qui sont venus des pays parlant Arabe –Syrie, Eretz Yisrael et Afrique du Nord et ce, bien avant l’arrivée des exilés Espagnols à Salonique. Ces Juifs ont fusionné avec leurs frères d’Espagne.
2. La Vieille Synagogue de la Communauté Catalan et la Nouvelle Synagogue de la Communauté Catalan–“les résidents de La Catalogne se sont toujours fait remarquer pour leur grande intelligence et connaissance scientifique, ce qui les mettait dans une position particulière vis à vis de leurs frères qui vivaient dans le reste de l’Espagne. La communauté de Barcelone fière d’elle même, se distinguait tous le temps des autres, par le fait qu’elle a produit des savants connus partout dans la Diaspora. Les persécutions terribles qui ont frappé les Juifs de Catalonian en 1391 les ont forcés à chercher abri et refuge. Ces réfugiés étaient des trailblazers pour le reste de leurs Frères Espagnols qui , de façon continue sont arrivés en Turquie, jusqu’à ce que tous aient été expulsés de leur patrie, dans l’année de l’expulsion générale de 1492.”
3. La Synagogue Castillane a été construite en 1492 par des Juifs exilés de Castile qui ont composé la majorité des exilés. Ce groupe avait la plus grande influence sur le reste de leurs compagnons exilés. Quatre-vingts années après l’expulsion, le reste des communautés s’était complètement assimilé en adoptant les coutumes des Juifs Espagnols: “Presque le monde entier a changé en se conformant aux pratiques et coutumes des Espagnols (Sepharades), depuis qu’ils constituent la majorité dans ce royaume (Turquie); leur style de la prière est pur et agréable”.
La Famille Toledano au Maroc jusqu’au Commencement
du 19ème siècle
Plusieurs branches de la famille Toledano se sont développées au Maroc. Ses membres ont été concentrés dans Meknes surtout, et un grande ramification s’est développée à Tanger. Cependant, au milieu du 19ème siècle, elles ont étendu leurs ramifications dans les autres villes à la fois au Maroc et à l’étranger. Avec la création de l’ État d’Israël, beaucoup ont fait leur Aliyah. Parmi les membres marquants de la branche Marocaine était le Rabbin Jacob Toledano (Mahari”t, 1697-1771). R. Jacob, rabbin et Dayan, a mené la communauté de Meknes pendant plusieurs années. Il a laissé derrière lui beaucoup d’articles écrits. Haviv Toledano, “Le Hasid,” (ca.1610-1660) était rabbin et Dayan, et à la tête de la communauté de Meknes. Il avait ses entrées à la cour royale et il a signé un édit (ordonnance) en 1640 dont l’ impact était si fort qu’il a été publié comme un édit royal. Daniel Toledano est né autour de 1606 et il est mort en 1680. Il était rabbin et Dayan et il était tout au long avec son fils, un conseiller du Roi Moulay Ismaël. Il était un ami et ausi le beau-père de R. Jacob Sasportas; celui-ci l’a beaucoup aidé à mener à bien la grande des batailles contre le faux Messie, Shabbtai Zvi. Haviv Toledano (1657-1715) était rabbin et Dayan à Meknes et a écrit le premier arbre de la généalogie et l’histoire de la famille.
Mariages ente Éminentes Familles du Maroc
Les femmes dans la famille Toledano se mariaient avec des rabbins de familles éminentes. La fille du Dayan Daniel Toledano (d. 1680) s’est mariée avec R. Jacob Sasportas qui a combattu le mouvement de Shabbtai Zvi. La fille de R. Hayim Toledano R. a marié Abraham Berdugo et elle étaient la mère de Moshe Berdugo Hamashbir connu comme tel. Les femmes Toledano se sont aussi mariées dans la famille du poète liturgique R.David Hassine aussi bien qu’aux membres de la famille Maimaran qui a produit des rabbins et des chefs de la communauté.
La Branche de la Famille Toledano de Tanger, Maroc
R. Aaron ben Moses Toledano (1705-1785) avec sa famille a déménagé vers la fin de sa vie de Meknes à Tanger.
Cette branche a produit beaucoup d’intellectuels, des journalistes, des conseillers et des négociants internationaux qui se sont installés en Europe et en Amérique.
La Branche de la Famille d’Eretz Yisrael
Beaucoup d’autres membres de la famille ont quitté Meknes pour s’établir à Tiberiade. Parmi eux le frères Solomon et Judah, fils de R. Jacob Toledano. Solomon avait 23 ans quand il est arrivé à Tiberiade en 1858, alors que son frère n’est arrivé que quatre anns plus tard à l’âge de 14. Solomon a été nommé à la cour rabbinique de Tiberiade où il a lutté pour les droits de ceux qui sont arrivés de sa ville natale de Meknes. Et s’en est occupé pour qu’ils ne fassent pas l’objet de discrimination quant aux fonds alloués pour supporter des Juifs en Eretz Israel, fonds collectés dans la Diaspora. En 1876 il a quitté Tiberiade, avec R. Judah Berdugo, pour devenir un émissaire d’Israel dans les villes de Maroc. R. Solomon Toledano est mort durant son périple, d’une maladie et il a été enterré dans la ville de Taza, située dans le nord-est du pays entre Fès et Oujda. Son plus jeune frère Judah a été nommé rabbin et émissaire dans Tiberiade, et plus tard il a dirigé la communauté Sepharade de cette ville. Dans une période de trois jours, chacun des frères a souffert de la mort d’un petit-fils dans la Guerre d’Indépendance. Le petit-fils de R. Solomon a été abattu lors de la défense de Jérusalem le 6 juin 1948 et le petit-fils de R. Judah tombait dans la bataille pour Ashdod le 3 juin 1948. Les descendants des Rabbins Solomon et Judah Toledano ont contribué dans de grandes affaires dans le domaine du bâtiment en Eretz Israël. Ils incluent:
Les émissaires–R. Solomon ben Jacob et son frère R. Judah.
Les rabbins–R. Solomon, R. Judah et leurs deux fils, Jacob Moses (Rima”t) et Barukh. Ils ont organisé la communauté au temps de l’expulsion pendant la 1ère guerre mondiale, et Jacob Moses et son frère Barukh se sont intéressés de leur rapatriement.
Le gouvernement - R. Jacob Moses a servi comme le Ministre des Affaires Religieuses dans le gouvernement Ben-Gurion et Samuel ben Barukh était le conseiller au premier ministre sur les Affaires Arabes (1965-1976) et un membre de la Knesset, en tant que représentant du Parti Shinui, (1977-1981). De même, a été Impliqué dans la construction dans la ville de Tiberiade, R. Solomon ben Jacob, le frère de R. Judah et de R Jacob Moses ben Judah et de leur frère R. Barukh.
Dans la défense de l’ État– Samuel ben Barukh était dans la direction du Mossad; et deux des membres de la famille sont tombés pendant la Guerre d’Indépendance– Hayim ben Jacob Hai qui a été abattu en défendant Jérusalem et Judah, le fils de R., Barukh, tombait dans la bataille pour la défense d’ Ashdod.
Dans le domaine de la Aliyah– Samuel ben Barukh était parmi les chefs secrets de l’Aliyah du Maroc.
L’Arbre de la famille de Daniel Toledano est mis à jour régulièrement, le plus récemment en avril 2000. Il contient plus de mille noms et il est inscrit comme Arbre No 647 dans le Musée de la Diaspora [Beit Hatefutzot] dont la base des données a été informatisée.
Le Livre de Famille “Les Descendants de Daniel Toledano” (en hébreu).
La première édition du livre de la famille a été publiée dans Ramat Gan, février 1999 et contient 310 pages, 53 graphiques, et huit photographies, cinq en couleur. Le livre détaille les vie de 722 personnes, représentant dix-sept générations de la famille. Le livre a été donné (vendu) à plusieurs institutions et il est disponible pour consultation dans les endroits suivants:
1) La Bibliothèque Juif National de l’Université, Givat Ram, Jérusalem,
2) La Bibliothèque Bloomfield pour les Sciences humaines et les Sciences Sociales, Mt. Campus Scopus, Université hébraïque, Jérusalem
3) Machon Ben Zvi, Jérusalem,
4) Israël Société Généalogique, Branche Jérusalem,
5) Israël Société Généalogique, Branche Tel Aviv,
6) le Centre International pour l’héritage des Juifs d’Afrique du Nord, Jérusalem
7) Sha’ar Zion Bibliothèque, Beit Ariela, Tel Aviv,
8) le Diaspora Museum/Beit Hatefutzot, Tel Aviv,
9) Université Bar llan, Ramat Gan,
10) La Bibliothèque Britannique, Londres,
Il est possible aussi d’acheter le Livre en écrivant à: Yacov Tal Toledano tolital@zahav.net.il
Le prix en Israël, inclurant les frais de manipulation et de poste, est de 75.00 Shekels.
Traduction en français par Raphael Cohen, Montréal, QC, Canada
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