* Ces théories ont un point commun : la maximisation de l’indice
d’utilité à travers une fonction objective.
* Or en Islam, le comportement de l’entreprise, recouvre en plus de
cela, des attitudes d’altruisme, telles que les Sadakats et principalement
la Zakat.
* Le comportement de l’entreprise en Islam diffère aussi du
fait de la prohibition de l’intérêt pour son financement.
Il en résulte que la dichotomie entre propriétaires et gestionnaires
est nettement marquée en Islam.
* En résumé, le comportement de l’entreprise recouvre
une dimension “ morale ” : l’altruisme, qui est et doit être endogène
au système de gestion de l’entreprise.
þþ Pour ce qui est de l’Investissement, on lui reconnaît
deux rôles essentiels :
a) Au niveau de la demande, l’investissement intervient dans le niveau
du produit national Brut.
b) Au niveau de l’offre l’investissement intervient quand à
la formation du capital fixe et donc de la Production.
* L’auteur traite aussi des normes qui doivent régir ‘investissement
dans le cadre Islamique, à savoir :
a) Les Normes de licité qui ne doivent pas être enfreintes.
b) L’application des finalités de la Chari’a en respectant les
priorités :(DAROURIAT-HAJIAT-TAHSINIAT).
c) L’interdiction de tout financement à base de riba.
d) L’investisseur musulman dans ce cadre essaie de maximiser sa fonction
objectif, qui vise à la fois plus de profits matériels, mais
également plus de récompenses divines : Ajr, Tawab, Falah.