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Ce système peut être appliqué
au contrôle des autoroutes en détectant l’excès de
vitesse et surchargeant le véhicule selon un principe beaucoup plus
élargie que la forme traditionnelle basée au radar e à
la surveillance de la police.
Pour bien comprendre ce principe, il faut imaginer une autoroute comme les autoroutes françaises (ressemblant à beaucoup d’autres), une route fermée, c’est à dire, qui a des points très precis pour l’entrée et pour la sortie. Aujourd’hui, ainsi que les chauffeurs sortent de
l’autoroute, le péage est fixé uniquement selon la distance
entre les points d’entrée e de sortie.
Le système SpeedToll proposé ici, determine la vitesse moyenne du véhicule entre les deux points de contrôle, calculant le rapport entre la distance et le temps écoulé. C’est suffisant d’enregistrer l’heure de son entrée et l’heure de sa sortie pour évaluer combien de temps le chauffeur a pris pour aller d’un bout à l’autre. Pour enregistrer l’heure de l’entrée, on a deux choix: enregistrer l’heure automatiquement sur un ticket pris par le chauffeur ou, si les points se communiquent par un réseau d’ordinateurs, enregistrer l’heure et la licence de la voiture par un opérateur humain. Le procédé
peut être aussi accompli par les systèmes automatiques comme
Telepass utilisés déjà sur les autoroutes, dès
qu’on le prépare pour charger selon le même principe.
Sûrement, le système est une façon remarquable de faire respecter les limites de vitesse. Cependant, il y a une façon plus effective encore que celle ci d’appliquer directement une amende. Au lieu de d’appliquer une amende, il est préférable fixer le prix du péage selon la vitesse pratiquée par le chauffeur. Si l’on respecte la vitesse, on ne paie que le prix normal. Si l’on la surpasse, on paie une valeur additionnelle qui dépend au excès pratiqué dans la section. L’application de ce péage différencié est plus effective parce que permet de punir l‘infracteur immédiatement au moment du payement du péage en même temps que permet de préserver les formes traditionnelles et l’application de l’amende. Ceci renforce les possibilités de succès sur l’éducation des chauffeurs. Ce concept permet de fixer le prix du péage pas seulement par la distance parcourue mais aussi par la vitesse rélative du véhicule. Le calcul du péage est très flexible, basé à tables et formules très simples qui peuvent être ajustées au niveau de la vitesse que l’on veut garantir sur chaque section de l‘autoroute et aussi au niveau de punition que l’on veut appliquer à l‘infracteur. Comme ce payement ajusté est seulement un péage, l’application de l’amende reste possible, sans le danger de tributs doubles. En outre le SpeedToll rend plus facile le système conventionnel d’application des amendes puisque le nombre d’infracteurs devient plus petit. Ça veut dire que le SpeedToll surveille d’une façon très automatique la plupart des véhicules, en permettant que les gendarmes puissent dédier leur attention aux exceptions. La flexibilité du calcul permet d’appliquer des valeurs différentes sur des sections différentes d’une seule autoroute, permettant de limiter proprement la vitesse sur des sections dangereuses ou sur des sections qui, au contraire, invitent les chauffeurs à la vitesse. Le choix des points de payement est aussi très flexible: par exemple, sur chaque point intermédiaire ou seulement sur les sorties et sur des points spéciaux. Bien sûr, la méthode est naturellement flexible pour differencier catégories de vehicules (automobile, autobus, camion, moto, etc.) permettant d’appliquer pour chaque groupe un prix e une vitesse appropriés, sur chaque section. Ce système s’applique aussi sur certain routes urbaines qui demandent un contrôle plus effectif de la vitesse n’importe pas s’il faut appliquer un péage. Dans ces cas, seulement les infracteurs doivent payer. Cette méthode défend les infracteurs de tromper le système. C’est différent avec les systèmes basés à radar ou à la surveillance humaine où les chauffeurs peuvent les observer en avance. Le SpeedToll détecte tous les infracteurs. La seule manière de ne pas payer la valeur aditionnelle consite à parcourir chaque section dans le temps permis. Pour faire cela, le chauffeur peut aller vite sur quelques lieux et ralentir ou même s’arrêter sur d’autres points. Ce n’est pas une atitude intéressante pour lui. Même dans ces cas, c’est possible d’éliminer ce risque en mettant des points de contrôle sur des points intermédiaires. Notre intention est de concéder la licence de ce système aux entreprises chargés de l’opération des réseaux routiers et dans les regions urbaines, fixant un pourcentage sur la somme du péage payé. Il est possible aussi d’accorder sur le payement de deux types de pourcentages appliqués respectivement sur la partie fixe e sur la partie excédente du péage, la deuxième provoquée par l’excès de vitesse. Pour rendre cette méthode effective, il faut du soutien politique, la permission légale pour le chargement, des accords commerciaux avec les entreprises chargées de l’opération des autoroutes, des contracts pour le support technique de l’opération et la fixation de règles de vérification. Il faut surtout développer
des campagnes de marketing pour montrer à la
Pour rendre immédiate
l’implantation du SpeedToll, nous avons développé un programme
de software, appelé “TimeCop”, qui supporte tous les concepts inclus
dans le système. Ce software est compatible avec différentes
plate-formes de software et de hardware, en permettant d’attacher le TimeCop
aux applications de software et aux équipements qui sont en train
d’être utilisées.
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